Les faits marquants de la rencontre d’hier entre le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard et le ministre fédéral des Pêches et des Océans, l’honorable Hunter Tootoo, étaient le dialogue ouvert et l’engagement à collaborer.
« Les secteurs de la pêche et de l’aquaculture de l’Île-du-Prince-Édouard contribuent de façon importante à notre province, offrant emplois et possibilités de développement économique, de dire le premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard, Wade MacLauchlan. Afin de continuer à tirer parti de notre succès, il est important que les intérêts et les préoccupations de la province se fassent entendre lorsque les décisions qui pourraient affecter notre industrie sont prises au niveau national. Le gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard continuera à travailler avec les associations locales de l’industrie et le gouvernement fédéral afin d’assurer la prospérité de nos pêches pour notre province. »
Le premier ministre MacLauchlan a eu l’occasion de discuter avec le ministre Tootoo au sujet des défis du marché du travail, surtout ceux du secteur de la transformation en raison des changements apportés au Programme fédéral des travailleurs étrangers temporaires, ainsi que des possibilités de croissance en exportation pour les industries de la pêche et de l’aquaculture de l’Île.
Lors d’une rencontre plus tard dans la journée, le ministre de l’Agriculture et des Pêches, Alan McIsaac, a discuté avec le ministre fédéral au sujet des allocations actuelles de quotas de la province ainsi que de l’importance de l’innovation et de la recherche dans les secteurs. Le ministre McIsaac a également abordé les défis de la main-d’oeuvre ainsi que le besoin de mettre des mesures à court terme en place en vue de la prochaine saison de pêche si la révision complète du programme ne peut se faire à ce moment.
« La Province se réjouit du niveau de coopération et des relations de travail positives qu’elle entretien avec Pêches et Océans et attend avec intérêt à renforcer ces liens au cours des prochaines années, d’affirmer le ministre McIsaac. En travaillant ensemble, nous pouvons trouver des moyens pour faire progresser notre industrie et pour assurer la force et la durabilité de nos secteurs de la pêche et de l’aquaculture. »